Comme nous n’avons pas de frère, que mes deux autres sĹ“urs sont mariĂ©es et que ma mère est dĂ©cĂ©dĂ©e (il y a 2 ans), je restais chez mon père. La chambre dans laquelle mon père a sĂ©journĂ© Ă©tait une chambre triple et tout le monde avait un compagnon. J’Ă©tais la seule dame parmi eux, et je m’assoupissais sur les canapĂ©s comme tout le monde. Ă€ un moment donnĂ©, un autre patient est venu des villages supĂ©rieurs et ils l’ont allongĂ© sur le lit du patient qui a reçu son congĂ©. Le compagnon masculin restait avec elle et je dormais toujours sur les canapĂ©s. Comme le saignement de mon père a continuĂ©, je n’ai pas Ă©tĂ© autorisĂ© Ă arrĂŞter. L’infirmière m’a dit que je devais trouver du sang pour mon père de toute urgence et que le sang dans les stocks devait ĂŞtre ajoutĂ©.
Le sang de mon père Ă©tait difficile Ă trouver. J’ai cherchĂ© tous ceux que je connaissais, mais je n’ai trouvĂ© personne pour donner mon sang. Je n’ai pas trouvĂ© de sang quand j’ai dit Police, MunicipalitĂ©, Radio While Pendant que je pleurais d’ennui, le gendre du patient nouvellement arrivĂ© (j’ai appris qu’il s’appelait Ayhan, il mesurait 1,80 mètre, grand, yeux noisette, chauve, mais il avait l’air beau malgrĂ© sa calvitie, il Ă©tait fonctionnaire Ă Samsun) et m’a demandĂ© pourquoi je pleurais. J’ai dit Ă mon père que je cherchais du sang et qu’il m’Ă©tait impossible de le trouver. Regarde la chance! Je l’ai trouvĂ© au sol en cherchant dans le ciel! Il avait le mĂŞme groupe sanguin et a dit qu’il pouvait donner du sang Ă mon père. Dès que j’ai entendu cela, je l’ai serrĂ© dans mes bras et l’ai remerciĂ© (mais je ne pouvais mĂŞme pas atteindre la poitrine parce que je suis si petite).
Nous avons immĂ©diatement parlĂ© Ă la banque de sang. Il a dit que ses amis Ă©taient de groupe sanguin et qu’il pouvait les demander si nĂ©cessaire. On est entrĂ©s ensemble. Il a appelĂ© ses amis après qu’on lui ait dit que nous avions besoin de 3 unitĂ©s de sang supplĂ©mentaires de toute urgence. Au bout d’un moment, 4 autres unitĂ©s de sang sont venues du sang que je ne pouvais pas trouver, et j’Ă©tais très heureux… Après avoir donnĂ© son sang, je lui ai dit que je voulais le traiter avec un dessert. Il a dit: “MĂŞme si vous ne le commandez pas de toute façon, je dois le manger.”Il a dit et nous sommes allĂ©s Ă la section pâtisserie ensemble. Nous avons achetĂ© quelques-uns de ses bonbons prĂ©fĂ©rĂ©s. Quand j’allais payer les bonbons, j’ai dit: “Ce n’est pas Ă l’homme de payer la dame!”Il ne m’a pas fait payer. Pour une raison quelconque, son geste me semblait comme si elle prĂ©parait le terrain pour me baiser.
En mangeant les bonbons, il m’a demandĂ© “ ” Que fait ta femme?” ledit. Et j’ai dit: “Je suis cĂ©libataire…”Il a lui-mĂŞme dit:” Je suis mariĂ©, j’ai deux enfants, ma femme est enseignante, elle n’a pas pu venir, je vais rester avec mon beau-père, j’ai trois gendre, mais je n’anticipe pas leur avenir, l’appel d’offres m’a Ă©tĂ© laissĂ© conformĂ©ment Ă la commande.” ledit. Après avoir mangĂ© les desserts, nous sommes retournĂ©s voir nos patients ensemble. J’ai prĂ©sentĂ© Ayhan Ă mon père: “La personne qui a donnĂ© du sang est le père (en dĂ©signant le patient hospitalisĂ©) et le gendre de cet oncle.”J’ai dit. Après la rĂ©union, je parlais de la conversation traditionnelle avec les patients et il faisait nuit, et mes problèmes avec un endroit pour dormir ont recommencĂ©. Tout le monde dormait sur son canapĂ©, mais je ne pouvais pas dormir, la plupart d’entre eux me regardaient Ă cause des collants que je portais.
Ă€ un moment donnĂ©, Ayhan s’est approchĂ© de moi et m’a dit: “Je vais m’occuper de ton père, tu rentres Ă la maison!” ledit. J’ai dit que notre maison est Ă Giresunda et que je n’ai nulle part oĂą aller. Ayhan m’a donnĂ© son propre siège et a rejoint les deux sièges et est sorti. Comme je n’ai pas pu dormir correctement pendant plusieurs jours, je me suis endormi immĂ©diatement. Au bout d’un moment, je me suis rĂ©veillĂ© avec un coup de coude sur le bras. Ayhan. Il m’a dit qu’il avait obtenu la clĂ© du personnel jusqu’Ă l’arrivĂ©e du patient de la chambre privĂ©e voisine, et que je pouvais y dormir confortablement. Nous sommes allĂ©s regarder ensemble. Ă€ l’intĂ©rieur, il y avait un canapĂ©-lit et une douche, Ă l’exception du lit du patient. “Merci!”Je voulais le serrer dans mes bras et l’embrasser Ă nouveau, mais je ne pouvais pas atteindre son visage. “Tu es si bonne, je peux t’embrasser?”J’ai dit.
Il s’est penchĂ©, a embrassĂ© ses joues, puis alors que je le serrais Ă nouveau dans mes bras, j’ai senti un renflement commençant entre mes seins et s’Ă©tendant jusqu’Ă mon menton. Sa bite s’Ă©tait durcie et je pouvais sentir ses mouvements semblables Ă des battements de cĹ“ur entre mes seins. En fait, je ne voulais pas du tout partir, mais quand Ayhan a dit: “Je vais aller voir mon patient maintenant…”J’ai arrĂŞtĂ© de me serrer dans mes bras. Après le dĂ©part d’Ayhan, j’ai immĂ©diatement pris une bonne douche et je me suis assis sur le canapĂ©-lit, je me suis rassasiĂ© sous la douche et j’ai dormi. Il Ă©tait environ 4 heures du matin quand je me suis rĂ©veillĂ© aux cris du couloir. Je suis juste sorti pour voir ce qui se passait. L’un des patients de l’autre service Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ©. Au bruit des proches du patient dĂ©cĂ©dĂ©, Ayhan s’est Ă©galement rĂ©veillĂ©e et Ă©tait debout. Après le dĂ©part des parents dĂ©cĂ©dĂ©s, je suis allĂ© voir mon père. Mon père dormait profondĂ©ment, tandis que les proches des autres patients ronflaient. Alors qu’Ayhan allait s’allonger sur sa chaise, j’ai pris une dĂ©cision soudaine “ ” Voulez-vous entrer, vous ne pouvez pas dormir Ă cĂ´tĂ© d’eux!”J’ai dit et lui ai pris la main et l’ai emmenĂ©e dans la pièce. “
Tu dors sur le canapĂ©-lit et je dormirai sur le lit de malade.”J’ai dit. Ayhan a Ă©galement dĂ©clarĂ©: “Ils ont particulièrement averti que personne ne devrait dormir sur le lit de malade, je ferais mieux d’aller dormir Ă nouveau sur le canapĂ©!” ledit. “Alors dormons ensemble sur le canapĂ©-lit, nous nous intĂ©grerons tous les deux confortablement!”J’ai dit. “Je ne sais pas comment cela pourrait-il ĂŞtre?”Il a dit quelque chose comme ça, mais quand j’ai insistĂ©, il a acceptĂ©… Nous nous sommes allongĂ©s dos Ă dos sur le canapĂ©-lit. Ayhan Ă©tait adossĂ©e au mur. Après quelques minutes de silence, aucun de nous n’a pu dormir et nous avons tous les deux commencĂ© Ă bouger. Après m’ĂŞtre retournĂ© de-ci de – lĂ quelques fois sur le canapĂ©-lit, il nous restait enfin mes hanches contre sa bite.
La bite d’Ayhan Ă©tait levĂ©e et il me mettait la pression sur le cul. Je pressais mon cul contre sa bite aussi. Aucun de nous ne parlait, mais nous avons tous les deux aimĂ© ça. Après s’ĂŞtre allongĂ©e comme ça pendant un moment, Ayhana a dit :” Tu ne pouvais pas dormir aussi, hein?”J’ai demandĂ©. “Oui, j’ai sommeil!”dit-elle. Je me suis tournĂ© vers Ayhan et lui ai dit avec un sourire “ ” Je suppose que la tienne n’a pas de sommeil non plus!”J’ai dit. “Je ne comprends pas?”dit-elle. “Votre outil!”J’ai dit. “Oh, c’est ça? Il Ă©tait excitĂ© Ă cause de toi!”dit-il en riant. J’ai glissĂ© ma main sur le devant de son pantalon et j’ai couru sur sa bite: “Voulez-vous que je me dĂ©tende?”J’ai dit. “Ne nous laissons pas prendre, mĂŞme si je le veux!”dit-elle. “Qui viendrait Ă cette heure?”J’ai dit et j’ai immĂ©diatement ouvert la fermeture Ă©clair (comme l’ont dit les clients qui sont venus chez le coiffeur) et j’ai mis ma main sur sa bite… Après avoir frottĂ© un peu sa bite, c’Ă©tait comme un tas. J’ai dĂ©logĂ© sa bite, c’Ă©tait Ă©norme et Ă©norme. C’Ă©tait la première fois que je voyais un coq vivant.
Ses veines Ă©taient enflĂ©es, la tĂŞte de sa bite Ă©tait comme une boule de feu. Je l’ai bien frottĂ© d’avant en arrière, puis j’ai crachĂ© ma main et je l’ai frottĂ© Ă nouveau. Tenant ma tĂŞte, ” Voulez-vous sucer?”dit-elle. “C’est la première fois que je touche…” dis-je. “Es-tu vierge?”dit-elle. “Oui!”agissons” Alors jouons, n’allons pas plus loin!”dit-elle. “Peu importe pour moi, je te suivrai!” J’ai dit et je voulais lui sucer la bite, mais ça ne rentrait pas dans ma bouche et franchement je ne savais pas comment le faire. Puis il s’est soudainement redressĂ© et m’a pris dans ses bras, embrassant mes lèvres si fort qu’il me pressait comme si je sortais mon eau, et il me pĂ©trissait les fesses avec ses grandes et larges mains.
En une minute ou deux sur ses genoux, mon Ă©jaculation rauque est devenue un orgasme. Quand mon Ă©jaculation saccadĂ©e Ă©tait terminĂ©e, j’ai dit “ ” Non, tu viens de passer!” ledit. “Que puis-je faire, je n’y peux rien, j’ai Ă©tĂ© sympa!”J’ai dit. Puis il a commencĂ© Ă caresser et Ă pĂ©trir mes seins. Il a enlevĂ© mon coton peignĂ©, et quand il a vu mes seins, il a dit “ ” Ton cou est un peu petit, mais tes seins sont si dodus et rocheux!”Il a enlevĂ© mon soutien-gorge. “Je ressemble Ă un nain, n’est-ce pas?”J’ai dit. “Non, je ne le pensais pas comme ça… ” dit-il. “Tu peux m’appeler Nain si tu veux, enfoirĂ©!”J’ai dit, parce que j’Ă©tais complètement excitĂ©. “Tu m’as traitĂ© de connard?” ledit. “
Oui, je veux que tu sois mon baiseur, je veux que tu me baises!”J’ai dit. “Comment cela va-t-il fonctionner? Tu es vierge!” ledit. “Va te faire foutre, ça n’arrivera Ă personne d’autre de toute façon, tout le monde est obsĂ©dĂ© par moi!”J’ai dit. “La taille n’a pas d’importance, chĂ©rie, fais juste bien la boĂ®te! Mais c’est la première fois que je couche avec une personne aussi petite, j’ai dĂ©jĂ baisĂ© un petit ami de votre dame, mais il Ă©tait 20-25 cm plus grand que vous. D’ailleurs, ma bite est un peu grosse, elle fait 21 cm, donc j’ai des problèmes avec ma femme, je ne sais pas si tu peux l’acheter?”dit-elle. Et j’ai ri: “Eh bien, vous piquez autant que je peux!”J’ai dit. Puis elle m’a allongĂ© sur le canapĂ©-lit et a enlevĂ© mes collants, et quand elle a vu mon string rose, elle a dit “ ” Tu n’es pas un peu trop!”dit-elle. Il tire mon string vers la droite avec sa main, tire vers la gauche, tapote ma chatte, ”